16/2/19 – L’aiguillon - Politique – Reuters – Les élections européennes décideront du maintien de l’Italie dans l’UE… (1)
Mais, zone Sud - Reuters - la BCE envisage de nouvelles injections de liquidités pour les banques…l'année prochaine…Les banques italiennes et d'autres pays du sud de l'Europe en particulier…(2)
Handelsblatt «L'Europe est confrontée à un tournant historique. Soit elle devient un acteur mondial indépendant, soit le jouet des puissances étrangères.» (3)
C’est le nationalisme qui sauverait une "nouvelle" Europe selon monsieur Borghi, notons qu’il affirme sa conviction sans même considérer la menace économique qui déstabilisera la zone, mais d’emblée il précise, Reuters «Un membre éminent du parti d'extrême droite de la Ligue a déclaré vendredi que l'Italie devrait quitter l'Union européenne à moins que les prochaines élections au Parlement européen amorcent un virage décisif vers les partis populistes.» Ce qui revient à dire que c’est un éventuel parlement nationaliste qui convaincrait l’Italie de rester dans l’union alors qu’instinctivement des patriotes chercheraient tous les moyens d’en sortir.
Cela étant il évoque une possibilité, Reuters "Soit nous réussissons à changer (l'Europe) maintenant, soit nous devrons partir", a déclaré Claudio Borghi, président du comité du budget de la Chambre basse et porte-parole de la Ligue pour les questions économiques, en se référant aux élections européennes." Nous avons là «notre» aiguillon national qui s’active, ce monsieur ne condamne pas le projet européen en tant que tel, mais sa forme actuel, gageons qu’il rejoindra celui qui incarnerait la libération des peuples du carcan technocratique bruxellois, tout en soutenant une nouvelle union, dans le cadre d’une nouvelle politique, Reuters "Je pense que c'est la dernière opportunité", a déclaré Borghi lors d'une conférence sur l'Europe à Milan, qualifiant le projet européen de "désastreux et toxique".
En l’état nous serons de son avis, mais «imaginons» un instant qu’une crise financière grave secoue la zone jusqu’à menacer les gouvernements «nationaux» de gauches ; suite à l’élection d’un parlement européen constitué d’une majorité de «patriotes» ; alors il ne resterait plus qu’à mettre en scène à Bruxelles un homme du même cru, préférant s’appuyer sur ses amis européens plutôt que sur des politiciens nationaux, usés, corrompus et incapables…
D’ailleurs Reuters précise ses propos «Quitter l'UE ne fait pas partie du programme de la coalition gouvernementale populiste au pouvoir en Italie […] Le mouvement cinq étoiles a démenti tout projet de départ de l'UE et a mis en garde contre tout projet susceptible de perturber les marchés financiers. "Nous n'avons pas l'intention de quitter l'UE, et pour cette raison, il serait préférable d'éviter de faire des déclarations qui mettent en péril la confiance des investisseurs", a déclaré Francesco D'Uva, chef de la faction 5 étoiles à la chambre basse du Parlement.»
Ces «patriotes» semblent craindre de mauvaises réactions, celles des marchés, en fait celles de l’oligarchie, car il n’y aura pas de retour en arrière, mais une mise en conditions qui consiste à donner un temps aux peuples d’Europe ce qu’ils désirent, protection et stabilité, à condition qu’ils acceptent la gouvernance commune du premier roi de Daniel 8/11, suite à une période de troubles.
L’avertissement, Reuters «Les taux des obligations d'État italiennes ont augmenté suite aux commentaires de Borghi, ce qui a ravivé les inquiétudes concernant l'engagement du pays envers la monnaie unique européenne.» Car il sera impératif de faire «comprendre» aux politiques qu’il serait dans leur "intérêt" de rester en zone Euro, ils pourront afficher un certain nationalisme, fermer les frontières extérieures, voter des lois isolationnistes, voir protectrice, et même, stopper un temps l’invasion migratoire, mais la zone Euro demeurera, dans le cas contraire, si certains devaient s’obstiner à vouloir en sortir, ils seront étouffés, et mourront, à bon entendeur, voyez le Venezuela…
Celui qui fédérera la zone lors de la crise devra avoir la confiance des marchés bien évidement, être l’un des leurs, ce qui correspond peut-être, aux préoccupations de Benoît Coeure, membre du conseil d'administration de la Banque centrale européenne qui «…a déclaré que la BCE discutait de l'idée d'octroyer de nouveaux prêts bon marché pluriannuels aux banques dans certains pays, car l'année prochaine ces prêts doivent être remboursés.»…et pour se faire les pays en questions auront tout intérêt à avoir la confiance des investisseurs…notons qu’il arrive à cette conclusion «Lors d'un discours à New York…», Babylone la grande sera le siége du commerce international ; mais ce qui attirera notre attention est qu’il «…a déclaré qu'un nouveau TLTRO était possible et qu'il pourrait encore être envisagé, mais qu'une telle opération devrait servir "un objectif", ce qui signifie probablement qu'il devrait aider la BCE à atteindre son objectif d'inflation plutôt que d'aider simplement les banques. "C'est possible, nous en discutons", a déclaré Coeure. "Mais nous voulons être sûrs que cela sert ... un but."
Ce but sera l’union à marche forcée sous l’égide du premier roi de Daniel 8/11, politiques et hommes d’affaires auront le couteau sous la gorge ce qui les «incitera» à tourner leurs regards vers Bruxelles plutôt que Rome ou Paris, particulièrement en zone Sud, ce que Reuters nous confirme aujourd’hui «Les banques italiennes et d'autres pays du sud de l'Europe en particulier pourraient être confrontées à des problèmes de financement, la dernière opération de refinancement à long terme ciblée (TLTRO) de la BCE arrivant à échéance en 2020.»
Ce que monsieur Borghi n’ignore pas, à l’instar de tous les «nationaux» d’Europe, mais la subtilité de la manœuvre sera de nous présenter l’union comme une libération ; car lors des premières secousses ; les marchés bouderont un Euro menacé par des «mouvements séparatistes» ce qui sera l’un des arguments du premier roi pour proposer un eurobonds stabilisateur, crédible, qui séduira "miraculeusement" les marchés…et la zone Sud réfractaire… servir "un objectif…un but…
Ce retournement de situation sera possible lorsque les sbires projetteront l’illusion d’un "nationalisme européen" qui pourrait contrecarrer la puissance des spéculateurs, cela séduira les gauches, couplés à un renforcement de nos frontières extérieures, ce qui séduira les droites, comme le disait Georges Soros «Europe, réveille toi […] avant qu'il ne soit trop tard…» gageons que ce monsieur sera friand du nouvel eurobonds, et que le premier roi pourra compter sur lui pour financer son union de l’Europe.
Cette corrélation d’événements, de déclarations, d’attitudes, n’est pas le fait du hasard puisqu’ils ne sont qu’une mise en condition pour susciter l’état d’esprit impératif à l’acceptation des «solutions» qui devront s’imposer d’elles mêmes, «naturellement», avec le premier roi de Javan pour incarner cette renaissance du léopard, de Germania.
Nous conclurons avec Handelsblatt qui couvre un autre événement une «Conférence sur la sécurité. Pourquoi la conférence de Munich devrait être appelée conférence sur l'incertitude. Le ministre de la Défense, von der Leyen, ouvre la conférence de Munich sur la sécurité avec un appel à l'OTAN. Mais l'avenir de l'alliance est incertain. La raison: Donald Trump.»
Le "méchant" Trump est montré du doigt quotidiennement dans la presse allemande, ce qui offre à cette dernière les arguments, les opportunités d’expliquer aux masses que, Handelsblatt «L'Europe est confrontée à un tournant historique. Soit elle devient un acteur mondial indépendant, soit le jouet des puissances étrangères.»
Alors il nous sera expliqué bientôt qu’elle doit s’affirmer, le nationalisme des européens permettrait de solliciter cette dynamique car pour faire face aux géants russe, chinois, turc, ou américain, les nations devront s’unir, à l’instabilité économique succédera l’instabilité politique, puis sécuritaire, alors «La conférence sur la sécurité devrait en fait s'appeler conférence de l'incertitude cette année.» surtout si monsieur Poutine devait s’agacer de l’attitude de Berlin concernant la Crimée par exemple, mais notons que pour Berlin «Le monde est en transition, l'ancien ordre est en train de s'effondrer et le nouvel ordre n'est pas encore en vue. C'est pourquoi vous croisez de nombreux visages inquiets dans les couloirs étroits du Bayerischer Hof.»
Ce nouvel ordre sera celui d’une Europe «contrainte» de prendre ses responsabilités, suite à une colère du «méchant» Trump, lors d’une crise financière déstabilisatrice, provoquant les remouds politiques qui imposeront le premier roi de Daniel 8, mais il faudra que cette chaîne d’événements se déroule en corrélation, alors pour l'instant «Les États-Unis restent le protecteur de l'Europe…»
Oui, pour l'instant, en attendant que le Brexit inquiète les marchés, puis que le triomphe des nationaux aux européennes de juin amorce cette renaissance de la «nouvelle» Europe, car les USA : «…considèrent de plus en plus les Européens comme des concurrents dans cette course économique. Trump considère l'Union européenne comme "l'ennemie".
Il a plusieurs fois évoqué avec ses conseillers de sortir de l’alliance. Jusqu'à présent, ils ont réussi à le dissuader, mais maintenant, presque personne à la Maison-Blanche n'ose contredire le président.»
Nous avons une crise financière inévitable qui se précise, des nationaux qui revent d’une nouvelle Europe, un président US qui se prépare à retirer une partie de ses troupes d’Europe, pendant que monsieur Poutine coordonne sa politique avec l’Iran, et surtout avec la Turquie, encore membre de l’Otan, mais pour combien de temps ?
Mais nous avons surtout la prophétie avec une Europe qui s’organise en vue de l’aboutissement de cette séquence, l’attaque du duo Iran-Irak pour défendre Israël, mais il faudra pour cela que l’armée commune européenne voit le jour, et avant cela que le premier roi l’incarne, la personnalise, nous assistons à la naissance des dynamiques sentimentales qu’il exploitera pour se faire accepter, «sauver» l’Europe du péril économique, puis politique, ensuite le spirituel prendra le dessus lorsqu’il s’agira de défendre nos «valeurs» menacées par l’Islam chiite dans le monde…
Car «…quand il sera puissant par ses richesses, il soulèvera tout contre le royaume de Javan.» Daniel 8.2
A l'attention des nouveaux visiteurs "La zone Sud est donc "incapable" de respecter ces règles, sans doute par atavisme, et Monsieur Schaeuble serait sans doute tenté de remettre de l’ordre dans ces pays mais pour cela un pouvoir central doit être mise en place car la prochaine étape sera, comme nous le savons de transférer définitivement les derniers vestiges de notre indépendance nationale sous l’égide du premier roi de Daniel 8.
Planifier la transition, préparer la voie au premier roi. Le transition se fera mais nous sommes encore dans un schéma national malgré tout, et la montée en puissance des mouvement nationaux inquiète le politique lambda..." Article du 1/11/16, lire la suite...
Pour rappel "La réaction sera germanique et le premier roi pourra compter sur l’Aryen pour appuyer la centralisation du pouvoir en Europe en « libérant » les peuples du complexe de culpabilité qu’on lui distille jours après jours depuis des décennies « Le racisme primaire des classes moyennes, enfin révélé au grand jour, le sentiment d’injustice sociale, la propagande anti musulmane, le sionisme, seront les motivations de la vengeance et des premiers affrontements urbains.» Apocalypse annoncée p202, "racisme" crée de toutes pièces, concéquence de l'ouverture des frontières, pour les besoins du Grand Oeuvre." 29/4/16, archives XIV.