16/2/19 – L’aiguillon - Politique – Reuters – Les élections européennes décideront du maintien de l’Italie dans l’UE… (1)
 
Mais, zone Sud - Reuters - la BCE envisage de nouvelles injections de liquidités pour les banques…l'année prochaine…Les banques italiennes et d'autres pays du sud de l'Europe en particulier…(2)
 
Handelsblatt «L'Europe est confrontée à un tournant historique. Soit elle devient un acteur mondial indépendant, soit le jouet des puissances étrangères.» (3)
 
C’est le nationalisme qui sauverait une "nouvelle" Europe selon monsieur Borghi, notons qu’il affirme sa conviction sans même considérer la menace économique qui déstabilisera la zone, mais d’emblée il précise, Reuters «Un membre éminent du parti d'extrême droite de la Ligue a déclaré vendredi que l'Italie devrait quitter l'Union européenne à moins que les prochaines élections au Parlement européen amorcent un virage décisif vers les partis populistes.» Ce qui revient à dire que c’est un éventuel parlement nationaliste qui convaincrait l’Italie de rester dans l’union alors qu’instinctivement des patriotes chercheraient tous les moyens d’en sortir.
 
Cela étant il évoque une possibilité, Reuters "Soit nous réussissons à changer (l'Europe) maintenant, soit nous devrons partir", a déclaré Claudio Borghi, président du comité du budget de la Chambre basse et porte-parole de la Ligue pour les questions économiques, en se référant aux élections européennes." Nous avons là «notre» aiguillon national qui s’active, ce monsieur ne condamne pas le projet européen en tant que tel, mais sa forme actuel, gageons qu’il rejoindra celui qui incarnerait la libération des peuples du carcan technocratique bruxellois, tout en soutenant une nouvelle union, dans le cadre d’une nouvelle politique, Reuters  "Je pense que c'est la dernière opportunité", a déclaré Borghi lors d'une conférence sur l'Europe à Milan, qualifiant le projet européen de "désastreux et toxique".
 
En l’état nous serons de son avis, mais «imaginons» un instant qu’une crise financière grave secoue la zone jusqu’à menacer les gouvernements «nationaux» de gauches ; suite à l’élection d’un parlement européen constitué d’une majorité de «patriotes» ; alors il ne resterait plus qu’à mettre en scène à Bruxelles un homme du même cru, préférant s’appuyer sur ses amis européens plutôt que sur des politiciens nationaux, usés, corrompus et incapables…
 
D’ailleurs Reuters précise ses propos «Quitter l'UE ne fait pas partie du programme de la coalition gouvernementale populiste au pouvoir en Italie […] Le mouvement cinq étoiles a démenti tout projet de départ de l'UE et a mis en garde contre tout projet susceptible de perturber les marchés financiers. "Nous n'avons pas l'intention de quitter l'UE, et pour cette raison, il serait préférable d'éviter de faire des déclarations qui mettent en péril la confiance des investisseurs", a déclaré Francesco D'Uva, chef de la faction 5 étoiles à la chambre basse du Parlement.»
 
Ces «patriotes» semblent craindre de mauvaises réactions, celles des marchés, en fait celles de l’oligarchie, car il n’y aura pas de retour en arrière, mais une mise en conditions qui consiste à donner un temps aux peuples d’Europe ce qu’ils désirent, protection et stabilité, à condition qu’ils acceptent la gouvernance commune du premier roi de Daniel 8/11, suite à une période de troubles.
 
L’avertissement, Reuters «Les taux des obligations d'État italiennes ont augmenté suite aux commentaires de Borghi, ce qui a ravivé les inquiétudes concernant l'engagement du pays envers la monnaie unique européenne.» Car il sera impératif de faire «comprendre» aux politiques qu’il serait dans leur "intérêt" de rester en zone Euro, ils pourront afficher un certain nationalisme, fermer les frontières extérieures, voter des lois isolationnistes, voir protectrice, et même, stopper un temps l’invasion migratoire, mais la zone Euro demeurera, dans le cas contraire, si certains devaient s’obstiner à vouloir en sortir, ils seront étouffés, et mourront, à bon entendeur, voyez le Venezuela…
 
Celui qui fédérera la zone lors de la crise devra avoir la confiance des marchés bien évidement, être l’un des leurs, ce qui correspond peut-être, aux préoccupations de Benoît Coeure, membre du conseil d'administration de la Banque centrale européenne qui «…a déclaré que la BCE discutait de l'idée d'octroyer de nouveaux prêts bon marché pluriannuels aux banques dans certains pays, car l'année prochaine ces prêts doivent être remboursés.»…et pour se faire les pays en questions auront tout intérêt à avoir la confiance des investisseurs…notons qu’il arrive à cette conclusion «Lors d'un discours à New York…», Babylone la grande sera le siége du commerce international ; mais ce qui attirera notre attention est qu’il «…a déclaré qu'un nouveau TLTRO était possible et qu'il pourrait encore être envisagé, mais qu'une telle opération devrait servir "un objectif", ce qui signifie probablement qu'il devrait aider la BCE à atteindre son objectif d'inflation plutôt que d'aider simplement les banques. "C'est possible, nous en discutons", a déclaré Coeure. "Mais nous voulons être sûrs que cela sert ... un but."
 
Ce but sera l’union à marche forcée sous l’égide du premier roi de Daniel 8/11, politiques et hommes d’affaires auront le couteau sous la gorge ce qui les «incitera» à tourner leurs regards vers Bruxelles plutôt que Rome ou Paris, particulièrement en zone Sud, ce que Reuters nous confirme aujourd’hui «Les banques italiennes et d'autres pays du sud de l'Europe en particulier pourraient être confrontées à des problèmes de financement, la dernière opération de refinancement à long terme ciblée (TLTRO) de la BCE arrivant à échéance en 2020.»
 
Ce que monsieur Borghi n’ignore pas, à l’instar de tous les «nationaux» d’Europe, mais la subtilité de la manœuvre sera de nous présenter l’union comme une libération ; car lors des premières secousses ; les marchés bouderont un Euro menacé par des «mouvements séparatistes» ce qui sera l’un des arguments du premier roi pour proposer un eurobonds stabilisateur, crédible, qui séduira "miraculeusement" les marchés…et la zone Sud réfractaire… servir "un objectif…un but…
 
Ce retournement de situation sera possible lorsque les sbires projetteront l’illusion d’un "nationalisme européen" qui pourrait contrecarrer la puissance des spéculateurs, cela séduira les gauches, couplés à un renforcement de nos frontières extérieures, ce qui séduira les droites, comme le disait Georges Soros  «Europe, réveille toi […] avant qu'il ne soit trop tard…» gageons que ce monsieur sera friand du nouvel eurobonds, et que le premier roi pourra compter sur lui pour financer son union de l’Europe.
 
Cette corrélation d’événements, de déclarations, d’attitudes, n’est pas le fait du hasard puisqu’ils ne sont qu’une mise en condition pour susciter l’état d’esprit impératif à l’acceptation des «solutions» qui devront s’imposer d’elles mêmes, «naturellement», avec le premier roi de Javan pour incarner cette renaissance du léopard, de Germania.
 
Nous conclurons avec Handelsblatt qui couvre un autre événement une «Conférence sur la sécurité. Pourquoi la conférence de Munich devrait être appelée conférence sur l'incertitude. Le ministre de la Défense, von der Leyen, ouvre la conférence de Munich sur la sécurité avec un appel à l'OTAN. Mais l'avenir de l'alliance est incertain. La raison: Donald Trump.»
 
Le "méchant" Trump est montré du doigt quotidiennement dans la presse allemande, ce qui offre à cette dernière les arguments, les opportunités d’expliquer aux masses que, Handelsblatt «L'Europe est confrontée à un tournant historique. Soit elle devient un acteur mondial indépendant, soit le jouet des puissances étrangères.»
 
Alors il nous sera expliqué bientôt qu’elle doit s’affirmer, le nationalisme des européens permettrait de solliciter cette dynamique car pour faire face aux géants russe, chinois, turc, ou américain, les nations devront s’unir, à l’instabilité économique succédera l’instabilité politique, puis sécuritaire, alors «La conférence sur la sécurité devrait en fait s'appeler conférence de l'incertitude cette année.» surtout si monsieur Poutine devait s’agacer de l’attitude de Berlin concernant la Crimée par exemple, mais notons que pour Berlin «Le monde est en transition, l'ancien ordre est en train de s'effondrer et le nouvel ordre n'est pas encore en vue. C'est pourquoi vous croisez de nombreux visages inquiets dans les couloirs étroits du Bayerischer Hof.»
 
Ce nouvel ordre sera celui d’une Europe «contrainte» de prendre ses responsabilités, suite à une colère du «méchant» Trump, lors d’une crise financière déstabilisatrice, provoquant les remouds politiques qui imposeront le premier roi de Daniel 8, mais il faudra que cette chaîne d’événements se déroule en corrélation, alors pour l'instant «Les États-Unis restent le protecteur de l'Europe…»
 
Oui, pour l'instant, en attendant que le Brexit inquiète les marchés, puis que le triomphe des nationaux aux européennes de juin amorce cette renaissance de la «nouvelle» Europe, car les USA : «…considèrent de plus en plus les Européens comme des concurrents dans cette course économique. Trump considère  l'Union européenne comme "l'ennemie".
 
Il a plusieurs fois évoqué avec ses conseillers de sortir de l’alliance. Jusqu'à présent, ils ont réussi à le dissuader, mais maintenant, presque personne à la Maison-Blanche n'ose contredire le président.»
 
Nous avons une crise financière inévitable qui se précise, des nationaux qui revent d’une nouvelle Europe, un président US qui se prépare à retirer une partie de ses troupes d’Europe, pendant que monsieur Poutine coordonne sa politique avec l’Iran, et surtout avec la Turquie, encore membre de l’Otan, mais pour combien de temps ?
 
Mais nous avons surtout la prophétie avec une Europe qui s’organise en vue de l’aboutissement de cette séquence, l’attaque du duo Iran-Irak pour défendre Israël, mais il faudra pour cela que l’armée commune européenne voit le jour, et avant cela que le premier roi l’incarne, la personnalise, nous assistons à la naissance des dynamiques sentimentales qu’il exploitera pour se faire accepter, «sauver» l’Europe du péril économique, puis politique, ensuite le spirituel prendra le dessus lorsqu’il s’agira de défendre nos «valeurs» menacées par l’Islam chiite dans le monde…
 
Car «…quand il sera puissant par ses richesses, il soulèvera tout contre le royaume de Javan.» Daniel 8.2
 
A l'attention des nouveaux visiteurs "La zone Sud est donc "incapable" de respecter ces règles, sans doute par atavisme, et Monsieur Schaeuble serait sans doute tenté de remettre de l’ordre dans ces pays mais pour cela un pouvoir central doit être mise en place car la prochaine étape sera, comme nous le savons de transférer définitivement les derniers vestiges de notre indépendance nationale sous l’égide du premier roi de Daniel 8.
 
Planifier la transition, préparer la voie au premier roi. Le transition se fera mais nous sommes encore dans un schéma national malgré tout, et la montée en puissance des mouvement nationaux inquiète le politique lambda..." Article du 1/11/16, lire la suite...
 
Pour rappel "La réaction sera germanique et le premier roi pourra compter sur l’Aryen pour appuyer la centralisation du pouvoir en Europe en « libérant » les peuples du complexe de culpabilité qu’on lui distille jours après jours depuis des décennies « Le racisme primaire des classes moyennes, enfin révélé au grand jour, le sentiment d’injustice sociale, la propagande anti musulmane, le sionisme, seront les motivations de la vengeance et des premiers affrontements urbains.» Apocalypse annoncée p202, "racisme" crée de toutes pièces, concéquence de l'ouverture des frontières, pour les besoins du Grand Oeuvre." 29/4/16, archives XIV.
Von der LeyenMe Lagarde
14/2/19 – Politique – Javan -  Project Syndicat «Europe, réveille toi […] avant qu'il ne soit trop tard…» Georges Soros... (1)
 
Le slogan est clairement national socialiste bien que ce monsieur fasse l’apologie de l’invasion migratoire via ses fondations «droitsdelhommistes» la «nouvelle» l'Europe en gestation devra un temps donner le change, celui d’un patriotisme continental comme moteur unificateur.
 
Nous avons souligné à plusieurs reprises que le premier roi sera autorisé à jouer sur la fibre patriotique, lorsque le continent sera définitivement isolé face à des blocs structurés, russo-slaves à l’Est avec la Chine et l’Iran pour alliés, puis, suite à un Brexit cahoteux, isolé à l’Ouest avec un Donald Trump "imprévisible" aux commandes.
 
Au Sud c’est bien évidemment la Turquie qui se fera de plus en plus menaçante, alliée de l’Iran, elle à refusé de participer à la conférence de Varsovie ce qui la place dans le bloc des pro iraniens, contre Israël ce qui permet à monsieur Soros d’affirmer que «Pour protéger l'Europe de ses ennemis, tant internes qu'externes, la première étape consiste à reconnaître l'ampleur de la menace qu'ils représentent. La seconde consiste à réveiller la majorité pro-européenne endormie et à la mobiliser pour défendre les valeurs sur lesquelles l'UE a été fondée.»
 
Cette première étape doit se cristalliser, nous savons que c’est Israël qui sera l’enjeux des évolutions à venir, concours de "circonstances" les ennemis de l’Europe étant précisément ceux de Tel Aviv, l’oligarchie amorce d’emblée la dynamique, Le Figaro "…la réunion de Varsovie entre adversaires de l'Iran, Israël entendait officialiser ses relations avec certains régimes sunnites." Voir PS (2)
 
Mais avant que l’Europe puisse attaquer le bélier il est impératif de l’unir sous l’égide du premier roi et pour se faire affoler les peuples lors des premières secousses financières qui s’annoncent, ce que nous appelons ici les premiers soubressauts, et bien évidemment Georges Soros anticipe la panique «L'Europe est en marche vers sa dissolution et les peuples européens doivent se réveiller avant qu'il ne soit trop tard. S'ils ne le font pas, l'Union européenne suivra la voie de l'Union soviétique»
 
En claire unifiez-vous sinon se sera la ruine et la désorganisation, ce que nous appelons ici l’Europe à marche forcée, reste à provoquer la panique financière ce qui nous amène à la suite des événements…
 
Sputnik - Le FMI émet un avis de «tempête» sur l’économie mondiale…(3)
 
L’Europe est la zone la plus fragile puisque la moins organisée, totalement déstructurée, en première analyse, les nations lui ayant abandonné 80 % de leur pouvoir de décision législatif sans pour autant adopter une ligne de conduite commune, la place est libre, reste à suggérer de l’incarner, le triomphe des nationaux aux européennes en juin prochain amorceront l’aiguillon patriotique de la zone.
 
Nous pourrons observer Donald Trump à la manœuvre dans les prochains mois, sanctions commerciales ou augmentations des taux directeurs, il dispose de plusieurs leviers pour déclencher la panique qui provoquera la chaîne d’événements que anticipons ici surtout lorsque nous lisons madame Lagarde «Quand il y a trop de nuages, il faut un éclair pour déclencher la tempête. Ceci fait craindre le pire.»
 
Elle nous brosse ensuite le tableau habituel du monde instable avec les arguments du sbires : Brexit, tensions commerciales sino-américaines, dettes, etc…ce qui ne nous étonnera pas puisque la suite nous est prophétisée avec la cristallisation des blocs 10 en filigrane, précédé par celui qui nous intéresse aujourd’hui, Javan : L’Europe.
 
Georges Soros veut réveiller cette Europe, à l’instar d’Hitler qui voulait réveiller l’Allemagne au début des années 30, ce «réveil» sera celui d’une autorisation, en fait il consistera à nommer ce qu’il appel les «ennemis» (le langage est guerrier) de l’Europe. Extérieur d’abord, Russie, Turquie puis l’Iran bien sur, ce qui sera facilement compréhensible aux masses lorsque monsieur Poutine déplacera quelques divisions à proximité de la frontière polonaise ou de celle des pays baltes, quand au Sud monsieur Erdogan n’aura qu’à ouvrir les vannes des 3, 4 millions d’immigrés clandestins amassés dans son pays, panique continentale assurée…
 
Mais avant cela en interne, ici il s’agit de «…réveiller la majorité pro-européenne endormie…» Ce qui nous semble présomptueux d’affirmer en l’état puisque cette Europe n’est qu’un ramassis de fonctionnaires et de politiciens corrompus et incapables qui ne représentent qu’eux-mêmes, mais cela ne l’empêche pas de considérer que les peuples d’Europe sont pro-européen ce qui implique un retournement de situation émotionnel dans les mois à venir.
 
Ce pourquoi il nous est expliqué depuis des années que monsieur Poutine et Erdogan menacent la démocratie, gageons qu'après avoir déterminé les ennemis extérieurs l’Europe aura le devoir de se «…mobiliser pour défendre les valeurs sur lesquelles l'UE a été fondée…» Intra muros, mais aussi extra muros, soulignons que, Le Figaro «Benyamin Nétanyahou est l'unique chef de gouvernement à avoir fait le déplacement à Varsovie.»sans doute bien "conseillé" mais nous savons que «Les préoccupations d’Israël doivent être prises au sérieux. L’Autriche est inconditionnellement attachée à la sécurité d’Israël et de ses citoyens», a déclaré M. Kurz…» Article du 6/7/18, lire la suite… défendre les valeurs…
 
Nous avons pour cette année le Brexit, puis les élections européenne de juin comme dynamiques externes, puis interne, la préparation des esprits, quand madame Lagarde qui nous annonce que les premiers soubressauts sont imminents… il faut un éclair pour déclencher la tempête…
 
Une tempête qui offrirait à l’Europe l’opportunité de s’émanciper des USA et du «méchant» Trump, alors nous aurons en conclusion Reuters qui nous apprend que «L'Union européenne a convoqué un groupe industriel de grande envergure chargé de promouvoir l'euro et de lutter contre le monopole du dollar américain sur le commerce du pétrole et des produits de base, reflétant les tensions accrues avec Washington sur le commerce dues aux sanctions US.» (4)
 
Cette Europe artificielle gagne en assurance, même divisée, affaiblie, et corrompue, l’oligarchie lui prépare les conditions qui lui assureront son unité pour finalement attaquer le duo Iran-Irak d’où cette manipulation scabreuse de l’opinion.
 
Mais l’étude de la prophétie nous préserve de croire au mensonge, alors nous anticiperons tout en dénonçant la manœuvre en rappelant quelques principes de bases d’analyse de la situation actuelle :
 
1) L'Europe "Mais nous ne devons pas focaliser notre attention sur les USA car la Russie et l’Allemagne sont destinées à jouer un rôle important dans les événements à venir". Apocalypse annoncée p134
 
2) Le "vide" politique "Les USA depuis 1945 occupent la première place des économies mondiales et son rang n’a jamais été remis en cause jusqu’à aujourd’hui. Ceci est une erreur, économique et géopolitique." Apocalypse annoncée p137
 
3) L'aiguillon "L’affaiblissement politique et économique apparent, des USA, provoquera une monté en puissance de l’Europe elle est déjà très nettement observable. Même artificielle, cette évolution exigera une ligne de conduite homogène des nations Européennes pour faire face au «danger» Iranien accentué par les directives Onusiennes.
 
4) Le 1er roi "Sa domination sera éphémère, après avoir attaqué l’Iran il sera balayé par une tempête financière…" Apocalypse annoncée p201
 
5) La prophétie «Le jeune bouc grandit extrêmement et, quand il fut devenu fort, la grande corne se brisa, et je vis quatre cornes s'élever à sa place vers les quatre vents du ciel..» Daniel 8.8
 
PS : Analyse du 7/6/16 "Nous noterons aussi que l'Arabie Saoudite a cédé, «… avec ou sans pression extérieure… » et nous savons que dans un deuxième temps elle fera partie intégrante du bloc musulman sunnite sous la coupe de l’Egypte donc du roi du midi dans les prophéties et les concessions actuelles qu’elle semble faire sur le marché pétrolier favorise curieusement en première analyse l’émergence économique de l’Iran.
 
Cela étant les ambitions géopolitique du bélier étant que "l'Iran a une vision  stratégique sur l’Ummah." 14/10/15, archives IV et que cette vision implique de «… préparer la «libération» de Jérusalem.» 26 /11/15, archives VI, nous serons amener dans les mois à venir à considérer Jérusalem comme étant le problème central au Moyen Orient.
 
A l’instar d’Israël, l'Arabie Saoudite et l’Egypte savent qu’elles ont une carte à jouer en soutenant Israël pour le moment ce qui tôt ou tard sera un argument de poids dans le cadre d’une alliance avec l’Occident et la Russie lorsque la menace du duo se précisera." Lire la suite...
12/2/19 – Economie – Italie - Die Welt "Dans trois ou quatre mois, cette Europe n'existera plus" (1)
 
Le pays lourdement endetté possède les troisièmes plus grandes réserves d’or au monde. Les projets antérieurs de Rome de vendre une partie de ses réserves d’or pour renforcer le Trésor avaient échoué en raison de l’opposition des autorités européennes.
 
Der Spiegel - L'Italie en récession, la spirale fatal - L'économie se contracte, les dettes augmentent, les agences de notation menacent de dégrader la note du pays. L'Italie s'enfonce de plus en plus profondément dans la crise ce qui pourrait déclencher un effet domino dans toute l'UE. (2)
 
Rappel du 10/9/16 «…la mise en scène est parfaitement orchestrée, c’est la zone Sud qui posera problème, Grèce, Espagne, Portugal ou Italie, l’un (ou plusieurs) de ces pays sera (seront) bientôt montré du doigt et l’Allemagne devra prendre les choses en mains...» Lire la suite…
 
Dans trois ou quatre mois, ce qui nous amène après les élections européennes, triomphe annoncé des nationaux de la zone, car notons que ce n’est pas l’Europe qu’il condamne, mais celle là, une autre serait-elle envisageable ?
 
Les premiers soubressauts financier seront le détonateur du processus ce que «M. Salvini a annoncé que le gouvernement, pour faire face aux futures crises bancaires, défierait, si nécessaire la Commission européenne.» ce qui devrait être facile du fait même du vide politique franco-allemand et suite à un raz de marrée nationaliste continental.
 
Die Welt "L'ennemi commun sont les banquiers. Salvini a également adressé ses critiques au superviseur boursier Consob: "Nous sommes au gouvernement, car les autorités compétentes n’ont pas exercé leurs fonctions de contrôle. Les conseillés de Consob et de la Banca d'Italia doivent être limogé en totalité." Cette réaction est instinctive, alors que la crise ne c’est pas encore déclenchée les mesures nationales commencent à se radicaliser, quant serait-il après quelques semaines de troubles et une série de dépôts de bilans ?
 
L’Europe actuelle, ultra libérale et cosmopolite de nature porte en elle-même les germes de son échec, ce qui revient à admettre qu’elle est le cercueil des peuples occidentaux, mais l’économie mène au politique, nous savons qu’elle disparaîtra, au profit du premier roi de Daniel 8, pour «Une Europe qui protége» comme nous l’avons vue hier «Le manteau protecteur» de nos frontières extérieures.
 
L’aiguillon, Die Welt "Chaque fois que le gouvernement se tourne vers un problème, une lettre vient de Bruxelles, faisant référence à des règles qui favorisent toujours les concurrents les plus forts. Il continu: "Mais on s'en fiche. Il n'y aura plus d'Europe dans trois ou quatre mois et ces lettres seront obsolètes."
 
Nous pouvons anticiper la puissance politique d’un homme qui rejoindrait monsieur Salvini sur ce point, tout en conseillant aux gouvernements de rester dans la zone Euro, mais en la protégeant de la concurrence extérieure et des dangers géopolitiques qui se cristallisent jours après jours.
 
Mais pour l’instant il est impératif de présenter une chaîne d’événements crédible, avec la zone Sud en ligne de mire pour expliquer l’effet domino à venir, constat, Der Spiegel «L’Italie en récession. Les dernières données économiques sont en effet alarmantes. La production industrielle italienne a chuté de 5,5% entre décembre 2017 et décembre 2018 […] la consommation a rapidement baissé, en particulier au cours des quatre derniers mois […] cela ne s'est pas produit depuis des mois. Au troisième et au quatrième trimestre de 2018, l'économie italienne s'est contractée. Selon les critères communément admis, le pays est déjà en récession.»
 
Ceci, malgré un gouvernement nationaliste, ce qui aura son importance au moment voulue pour sous entendre, faire admettre, ou plutôt susciter le sentiment que même les meilleurs intentions patriotiques ne peuvent plus s’appliquer politiquement à échelle nationale, nous y reviendrons.
 
Germania nous suggère d’ailleurs le scénario que nous envisageons ici depuis des années, Der Spiegel «Vient maintenant la crise économique dramatique actuelle. Il est clair que le déficit public de l'Italie augmentera à nouveau. La seule question est de savoir dans quelle proportion et quelles en seront les conséquences.
 
En tout état de cause, la Commission à Bruxelles s'inquiète beaucoup de la "fin de l'Europe": "en raison du risque de répercussions sur le système bancaire, sur la situation financière des entreprises et des familles" et, compte tenu de la taille de l'économie italienne, également en raison des conséquences possibles pour le "réseau européen tout entier."
 
La crise est inéluctable, nous le savons, c’est l’effet domino qui nous intéresse ici, et surtout la sémantique désormais adoptée, Der Spiegel «Ainsi, selon le FMI, une "diffusion des risques" pourrait éventuellement aussi se répendre à d'autres pays.  fortement endettés eux aussi et incapables de rembourser leurs dettes, ce qui pourrait les faire sombrer et provoquer une catastrophe.»
 
Catastrophe effectivement, du fait même de notre endettement, la France ne faisant pas exception, mais gardons à l’esprit que l’Espagne ou encore le Portugal sont dans des situations comparables, la bulle immobilière espagnole pèse des centaines de milliards, le système ne tient plus qu’à un fil, une simple dépêche suffira à le faire basculer, Der Spiegel «…les principales agences de notation menacent de déclasser encore la note de l’Italie, ce qui pourrait déclencher une spirale à la baisse des marchés financiers.»
 
Si en plus de cela le président US devait accentuer sa guerre commerciale contre une Europe "ingrate", la panique serait totale, et l’Italie en serait l'un des prémices économiques. Envisager ce scénario c’est préparer l’opinion, le publier et le faire connaître c’est informer Germania que la crise a venir est inévitable, désormais l'échéance s’évalues en mois, nous verrons.
 
Dans le Frankfurter Allgemeiner du 22 janvier, une question se pose «Vers une UE nazie ?» (3)
 
Car pour le moment cette Europe n’est qu’un pâle reflet de l’incompétence et de la corruption des gouvernements nationaux, mais si un homme devait se présenter aux masses en période de crise avec un programme "sérieux" et des appuis politiques pour soutenir ses ambitions "libératrices" des peuples, il serait à même de fédérer à sa cause même le gouvernement italien, patriote et anti-imigrationiste, mais aussi anti-capitaliste au sens national…socialiste…
 
Alors le Frankfurter Allgemeiner explique à ses lecteurs que «L'AfD en fait un leitmotiv de sa politique européenne. Lors du congrès du parti à Riesa, qui a débattu du programme des élections européennes, le chef du parti, Alexander Gauland, a appelé les délégués à ne pas exiger qu'ils se retirent de l'UE»
 
Ce monsieur fonde peut-être des espoirs sur une «nouvelle» Europe ce qui expliquerait son attachement à la structure, cette Europe qui n'existera plus selon monsieur Salvini dans 3 ou 4 mois, car pour Alexander Gauland, elle est «un "appareil totalitaire corrompu, gonflé, non démocratique et latent" cette UE ne devrait pas avoir d'avenir. […] on peut observer des déficits de légitimité démocratique dans les institutions supranationales de l'UE, les opposants radicaux à l'intégration progressive vont encore plus loin: ils comparent l'UE à la prison des peuples en l'Union soviétique - ou à l'idéologie européenne du National Socialisme."
 
Nous observons une corrélation d’analyses, et demain, d’intérêts, entre les nationaux d’Europe, Germania nous confirme la crise à venir ce qui provoquera l’électrochoc impératif à une remise en question des priorités, nous avons les éléments qui seront les dynamiques qu’exploitera le premier roi de Daniel 8 pour séduire les masses. Le  Frankfurter Allgemeiner questionne «De Napoléon à Hitler et de là, à l'UE ? »
 
Mais avant cela une période de troubles et d’inquiétude devra précéder la venue du «sauveur» comme autrefois, la nation c’est substitué au royaume, demain l’Europe des patries se substituera aux nations, et c’est alors que nous verrons la prophétie s’accomplir, chronologiquement, avec l’émergence du bouc, l’intronisation du premier roi, ce que prépare l’oligarchie.
 
Rappel du 17/11/16 "...les prémices de l’intronisation du bouc, c’est-à-dire des complications politiques et économiques durera le temps nécessaire pour faire plier les peuples, le premier roi ne s’imposera pas par la force, comme l’aurait fait un Napoléon au 18 brumaire, il sera « sollicité » par la "force" des événements, il séduira les politiques, puis les masses, ayons à l’esprit que sa prise de pouvoir sera ascensionnelle, palliative, mais à terme, totale, cela dit cette période sera brève…" Lire la suite...
16/2/19 - Le bélier de Daniel 8 est réalité - IRNA - Une guerre contre l'Iran sera suicidaire
 
Téhéran, 15 février, IRNA - Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad-Javad Zarif, a averti les États-Unis et leurs alliés que la guerre contre l'Iran serait "suicidaire".
 
Zarif a déclaré à NBC News avant la Conférence de Munich sur la sécurité vendredi que les mêmes personnes, qui avaient fait la guerre à l'Irak en 2003, cherchaient à provoquer une guerre contre l'Iran, ce qui serait "suicidaire".
 
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Rappel du 25/1/16 - L’Irak est la deuxième corne de Daniel 8.3, celle qui supplantera l’Iran en force politique et militaire et qui sera le fer de lance de l’antagonisme qui opposera l’Europe à l'Islam, ce pourquoi nous y revenons régulièrement, car lorsque ce pays se sera réorganisé et  fortifié nous saurons que le temps des tribulations sera venu. Irak : Voir onglet cadrer l'étude Cahpitre VIII - Résumé chronologie des 7 années apocalyptiques. Lire la suite...
 
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Rappel du 22/6/16 "La «paix». Ce sera le nœud du problème pour Téhéran, l’oligarchie ne souhaite pas l’effacement et l’extermination des juifs tant que l’Antéchrist ne siégera pas à Jérusalem, équilibrer les forces en présences est le but de la manœuvre...
 
...mais Téhéran ne libérera pas les lieux saints, au contraire le bellicisme de l’Iran, puis celui de l’Irak, seront les prétextes d’une intervention totale et d'un engagement définitif de l’ensemble des nations en Terre Sainte. Notre point de repère actuel, l’Irak, la deuxième corne..." Lire la suite...
 
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Et donc, The Times of Israël "Netanyahu à Pence : «impatient de découvrir votre plan de paix»...Lire la suite...

Blog - Les prophéties et l'actualité se rejoignent dans le temporel

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L'Apocalypse Annoncée

N’éteignez pas l’Esprit.

Ne méprisez pas les prophéties

mais éprouvez tout, et retenez ce qui est bon abstenez-vous de toute apparence de  mal.1 Théssaloniciens V.20

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